L’Islam, une religion de paix
L’Islam, une religion de paix
Par Hadrat Mirza
Masroor Ahmad -
Cinquième Calife
de la Communauté
Musulmane
Ahmadiyya
Discours de Sa
Sainteté le
Calife, Hadrat
Mirza Masroor
Ahmad, Chef
Suprême de la
Communauté
Islamique
Ahmadiyya, à
l’Université
d’Abomey-Calavi,
à Cotonou,
République du
Bénin, lors de
sa tournée
d’Afrique de
l’Ouest en l’an
2005.
Quelques
passages du
livre :
[…]
après
l’avènement de
l’Islam, des
puissances
anti-islamiques
avaient lancé
une campagne de
propagande pour
faire croire que
l’Islam était
une religion
d’extrémisme et
de violence dont
le plan était de
forcer les gens
à croire par
l’épée.
Évidemment,
cette idée est
erronée
[…]
[…]
si
l’Islam a
été terni,
c’est à
cause de
l’image
sombre et
horrible de
l’extrémisme
qui est
projetée,
sciemment ou
inconsciemment,
par certains
groupes ou
organisations
islamiques ;
malheureusement
ces groupes
y ont des
intérêts
[…]
[…] si
l’on
souhaite
trouver les
vrais
enseignements
de l’Islam,
nous devrons
étudier le
Saint Coran
et voir ce
qu’il dit,
au lieu de
les chercher
dans les
actions de
certains
musulmans
qui ont
oublié les
principes du
Saint Coran
[…]
« Notre
Prophète dut
subir des
souffrances,
à la Mecque
et même
après, aux
mains des
incroyants.
La simple
évocation de
la
persécution
et de la
cruauté de
toutes
sortes qu’il
dut subir
pendant
treize
années à la
Mecque nous
fait
pleurer.
Malgré tout,
il ne tira
pas son
épée, ni ne
répondit-il
à leur
cruauté par
la cruauté.
Il advint
que beaucoup
de ses
compagnons
et amis les
plus chers
furent tués
de manières
on ne peut
plus
cruelles.
Certains
durent
passer par
toutes
sortes
d’épreuves ;
d’autres
furent
empoisonnés.
Plusieurs
complots
d’assassinat
furent
ourdis
contre lui,
mais en
vain.
L’heure de
la
rétribution
divine
s’approchait,
tandis que
les chefs et
nobles de la
Mecque
décidaient à
l’unanimité
que le Saint
Prophètesaw
devait être
assassiné.
C’est alors
que Dieu, le
Gardien et
Protecteur
de Ses
bien-aimés,
les gens
honnêtes et
véridiques,
informa le
Saint
Prophète
(saw) qu’il
n’y avait
plus que le
mal dans
cette ville
; et que son
peuple était
acharné à
commettre le
meurtre ; et
qu’il devait
donc quitter
les lieux
sur-le-
champ. Sous
la direction
de Dieu, il
émigra vers
Madinah
[...] »
(Masih
Hindustan
Mein p. 7-8
: Tafsir
Hadrat Masih
Mau‘ud, vol.
3, p.
316-317)